Philippe Graffin – violoniste

Philippe Graffin – violoniste
Le violoniste français Philippe Graffin a été remarqué par Yehudi Menuhin, qui l’invite à faire son premier disque sous sa direction.
Depuis, sa carrière l’a amené à travers 5 continents et trouve son reflet à travers une discographie importante, saluée par la critique, incluant une quarantaine de concertos , allant de Mozart aux œuvres écrites spécialement pour lui.
Retrouvez le pour 5 concerts exceptionnels :
Philippe a initié la série de concertos romantiques pour violon d’Hyperion records avec les concertos de Saint Saens, redécouvert le Concerto de Fauré; des versions originales et oublié du poème de Chausson, du Concerto d’Elgar ou du Tzigane de Ravel . Il a aussi redécouvert de nombreuses œuvres importantes jusqu’alors laissées de côté, parmi ses nombreuses redécouvertes celle du concerto du compositeur noir Samuel Coleridge-Taylor – enregistré en Afrique du Sud et joué aux BBC Proms tient une place particulière .
M. Graffin a partagé la scène avec certains des artistes les plus emblématiques de notre époque , Mtsislav Rostropovitch, Sir Roger Norrington, Yannick Nézet-Séguin, Emmanuel Krivine, Sir Vernon Handley, jean jacques Kantorow, lord Menuhin, rodion Schedrin notamment.
Il a fait la création française du “Red violin” concerto de john Corigliano.
Philippe a créé un projet autour de Gérard Depardieu à Flagey, Bruxelles, retransmis par la télévision belge, mêlant poésie et musique, dont un documentaire « Graffin-Depardieu la nuit leur appartient « a été tiré.
Élève de Philippe Hirschhorn et Josef Gingold, lui-même élève d’Eugène Ysaÿe, Philippe a créé la 7e sonate pour violon seul récemment découvert d’Ysa ÿe, qu’il a complétée et éditée pour les Éditions Schott. Cela a fait l’objet de deux
documentaires : Ysaÿe is Not Dead (TV belge) et de son propre film “ Ysaÿe’secret sonata “ ( YouTube).
Philippe a été le créateur et directeur artistique du Festival «Consonances» à St-Nazaire, France pendant 25 ans.
Il enseigne au Conservatoire Royal de Bruxelles ainsi qu’au Conservatoire de Paris.
Crédit photo – Marco Borggreve